Projets et réalisations

Bastide portuaire anglaise fondée en 1270 à la confluence de l’Isle et de la Dordogne, Libourne est née des eaux. Mais sa renommée se construisit sur la richesse des vignobles la ceinturant (Pomerol, Saint-Émilion et Fronsac). Sur les berges orientales du lac des Dagueys, le tout récent centre aqualudique lui offre désormais un lieu supplémentaire de destination !

UN VASTE PROJET DURABLEMENT RÉFLÉCHI

Ce projet de 4637m2 est un des plus grands de France et, surtout, un des plus vertueux énergétiquement. Il émane de l’agence rouennaise AP-MA Architecture, dirigée par Jean-François Périnet-Marquet, auteur, depuis 2002, de près d’une centaine de piscines.

Hormis l’administration, l’étage héberge l’espace bien-être comprenant deux bassins – balnéoludique et nordique –, trois bains thématiques, un hammam, un sauna et des douches massantes.

Au rez-de-jardin, se déploient une piscine sportive (25x 21m) avec ses dix couloirs de nage aux lignes s’escamotant sous la plage et ses 500 places en gradins, un bassin d’apprentissage, un autre d’activités multiples et une pataugeoire. S’y ajoutent l’impressionnant complexe de loisirs extérieur.

«Par définition, une piscine est un des équipements publics les plus énergivores, et, à l’exploitation, forcément déficitaire pour la collectivité. Ici, grâce au savoir-faire de ses concepteurs, le coût d’exploitation en énergie thermique et en eau de baignade a été réduit de plus de 50%, moyennant 7 à 8M€ d’équipements techniques (1/3 du budget global) : approvisionnement en eau neuve depuis le lac après « potabilisation » ; chauffage 100% biomasse avec pompe à chaleur à absorption ; capteurs photovoltaïques en autoconsommation ; déshumidification thermodynamique de l’air ; économie des eaux des filtres et confort de baignade par membrane céramique et désinfection à l’ozone des eaux des bassins.

L’ACIER À LA MANŒUVRE DE L’OPTIMISATION

Face au lac, tous les halls accueillant les bassins ainsi que les installations aqualudiques extérieures font majoritairement appel à l’acier. Leur structure est en acier galvanisé résistant mieux aux atmosphères chaudes, humides et chlorées, mais aussi plus économique que l’acier peint. La charpente en poutres Vierendeel croisées supportant des bacs acier acoustiques permet d’optimiser au plus juste chacun des volumes, dont l’air doit être renouvelé pas moins de cinq fois l’heure tout en maximisant les hauteurs des vitrages. Ces derniers descendent jusqu’aux plages afin que les nageurs puissent profiter pleinement du paysage lacustre et boisé alentour.

Des treillages en acier thermolaqué rouille forment de performants pare-soleil et/ou claustras, en jouant sur les différentes largeurs de leurs plats et leur distance des façades vitrées ou pleines. Leurs supports, tout comme l’entièreté de la charpente de la toiture, ont été galvanisés à chaud.

Client : Communauté d’agglomération du Libournais

Maîtrise d'ouvrage : Communauté d’agglomération du Libournais

Maître d'oeuvres : AP-MA Architecture

Surface : 4 637 m²

Acier galvanisé : Entièreté de la charpente + support des pare-soleil

Coût : 22,8 M€

Livraison : 2021

Photos : Géraldine Bruneel

Au cœur du massif du Morvan, une imposante longère a été partiellement réhabilitée en maison de famille. L’intervention a consisté à prolonger la réhabilitation sur un second tronçon, à la fois en préservant l’authenticité de la bâtisse ancienne et en s’inscrivant en cohérence avec la première intervention contemporaine.

La structure en acier se déploie dans le volume de la grange et contre la charpente bois, et définit deux volumes principaux : le premier accueille les chambres et les salles de bain, et le second, en négatif, offre un espace de vie généreux où se révèle l’édifice ancien.

Le point de départ est la création d’un nouvel étage : une plateforme métallique s'arrime aux épais murs de pierre et moise la ferme en bois. Pensée comme une structure capable, son quadrillage supporte le plancher collaborant, intègre les réseaux électriques, mais aussi un filet suspendu, les luminaires, les portes coulissantes, les garde-corps, etc.

Le second versant de l’intervention consiste à ouvrir des baies de grandes dimensions conçues comme de véritables objets techniques (portes accordéons ouvrant sur une terrasse suspendue, boite de lecture, porte cochère en acier, etc.). L'intervention se veut légère, visant à révéler le contraste entre sa contemporanéité et l'édifice rural.

L’acier est privilégié pour sa légèreté et sa malléabilité, et utilisé à toutes les échelles, allant des plus grands éléments structurels aux plus fins détails de mobilier intégré. Sa finition galvanisée vient apporter un contraste équilibré avec la vibration de la pierre et la chaleur de l’okoumé.

Tous les ouvrants pleins sont en tôle d’acier galvanisé, seul les ouvrants vitrés sont en aluminium anodisé. L’ensemble des pièces, y compris les tôles des portes, et leur structure interne en tubes carrés, sont galvanisées à façon :

Les éléments ont été pré-percés avant d’être mis au bain, et ainsi l’ensemble des dispositifs de fixation a été protégés par galvanisation. Le tout a ensuite été monté par assemblage mécanique, sans soudure, perçage ou recoupement sur le chantier. Ce fut l’un des principaux défis techniques durant la mise en œuvre du projet : anticiper l’intégralité des assemblages, de sorte qu’il n’y ait plus qu’à monter les éléments sur place (le tout dans un bâtiment ancien où il n’existe aucune orthogonalité).

Client : Clients privés

Maître d'oeuvres : minuit architectes

Surface : 130 m² SDP

Coût : 400.000 € HT

Livraison : 2023

Photos : BCDF studio / minuit architectes

Quelques mois après son élection, Pierre Hurmic, maire écologiste de Bordeaux depuis 2020, a décidé de remplacer le sapin de Noël géant installé chaque année sur la place Pey Berland par une œuvre d'art réutilisable, afin de "préserver la magie de Noël sans gaspiller l'argent public" et de "réinventer nos pratiques en privilégiant le vivant". Aujourd'hui, cet édifice monumental est entré dans le quotidien annuel des Bordelais et l'argument économique fait ses preuves.

L'arbre naturel, installé exactement au même endroit, coûtait 60 000 euros par an à la collectivité. A ces coûts, rappelle Pierre Hurmic, " s'ajoutent des coûts écologiques et économiques non négligeables ". En effet, une fois le gigantesque arbre abattu en forêt, il a fallu le transporter par camion à travers tout le pays, avant de l'installer, ce qui a nécessité douze ouvriers de nuit, trois nacelles, une grue de 30 tonnes, et des frais de gardiennage. L'œuvre de l'artiste Arnaud Lapierre, choisie par la mairie de Bordeaux, a coûté à la ville 130.000 euros en 2021. C'est beaucoup moins que le coût d'un sapin de Noël naturel si l'on lisse le coût sur un mandat de maire de 6 ans.

Pour Arnaud Lapierre, cette œuvre d'art "perpétue le caractère féerique de Noël", la scénographie lumineuse pouvant évoluer à l'intérieur de l'arbre, "lui conférant une part de mystère". Le jour, la structure est éteinte, reflétant la flèche de la cathédrale Saint-André. Une fois installé, l'arbre s'illumine la nuit.

Le reste de l'année, l'arbre est stocké dans un entrepôt municipal.

Arnaud Lapierre a été choisi pour son "approche créative intégrant l'éco-conception, le recyclage et la réduction de l'empreinte carbone". "Il était important pour ce projet d'être aussi minimal que possible en termes d'empreinte carbone (...) et de choisir des matériaux qui favorisent la réutilisation et la production locale. Tout a été acheté dans un rayon de 40 km autour de Bordeaux. Et en fin de vie, le verre et l'acier seront réutilisés pour d'autres projets futurs", explique le concepteur.

La structure du Sapin de Verre est composée à 100% de matériaux recyclables et/ou réutilisables : de l'acier galvanisé à chaud, construit par la Métallerie Bordelaise, et du verre recyclé issu de la filière des déchets architecturaux, recouvert d'autocollants transparents vert émeraude produits par l'entreprise locale Press Citron.

Coût : 130.000 euros (contre 60.000 euros chaque année pour un arbre de Noël naturel)
Dimensions : H 11 m - ø 5 m
400 éléments, dont 100 m² de verre et 176 miroirs de 22 tailles différentes. Les autres éléments sont en acier galvanisé.

Client : Ville de Bordeaux

Maître d'oeuvres : Arnaud Lapierre, Paris

Constructeur : Métallerie Bordelaise, Latresne

Acier galvanisé : Structure porteuse

Livraison : 2021

Photos : B Viallon - T Sanson - Arnaud Lapierre Design - Métallerie Bordelaise

Imaginez une Villa Medicis entièrement tournée vers le bien-être, l'individu. Un lieu hybride capable de prendre en charge nos besoins essentiels : bien dormir, bien manger, travailler, échanger, respirer, créer, faire de l'exercice, innover, soigner, apprendre, s'émerveiller, rêver. Un havre holistique conçu pour les soignants et ouvert à tous.

Villa M est un hôtel-centre multi-usages centré sur la santé, un espace innovant qui propose de créer de nouvelles dynamiques et de nouvelles pratiques. Imaginé par le groupe Pasteur Mutualité, il réunit une équipe créative composée de Philippe Starck, directeur artistique et décorateur, de l'agence Triptyque pour l'architecture du projet et de Coloco, atelier de paysage contemporain, pour sa conception paysagère.

La façade du bâtiment est constituée d'une structure minimale, aérée et légère. La Villa M supporte un jardin vertical. Cette structure fonctionne comme un treillis métallique géant faisant écho à l'architecture parisienne du 19e siècle, et permet au bâtiment de 8 000 m² de s'insérer facilement dans le boulevard Pasteur. L'équipe d'architectes paysagistes, d'urbanistes, de botanistes et de jardiniers a également travaillé à l'intégration du bâtiment dans le paysage parisien.

La Villa M est une infrastructure paysagère polyvalente. Les sous-sols décalés permettent de planter en pleine terre, faisant du bâtiment une machine vivante. Techniquement, les étages ont été conçus pour pouvoir évoluer dans le temps : flexibilité, multifonctionnalité et réversibilité des usages sont encouragées au maximum. La vocation de ce lieu atypique pour le " mieux soigner " et le " mieux vivre " est symbolisée par une ouverture sur l'extérieur.

Sur la façade, habillée d'une ossature en acier galvanisé et peint (système Duplex), une palette végétale diversifiée adaptée à l'environnement parisien et liée au thème des plantes médicinales a été choisie, dans l'idée de dessiner un paysage varié en constante évolution. Les couleurs des plantes ainsi que leurs variations sur trois strates de hauteur vont dessiner un motif et donner un caractère mouvant à cette composition. Au fil du temps, elle deviendra l'architecture la plus visible, évoluant au gré des saisons et du temps. Le toit du bâtiment a également été conçu comme un jardin urbain de plantes médicinales.

Toute la structure de la façade, les bacs à plantes et les accessoires ont été galvanisés à chaud et peints (57 tonnes au total) afin de maximiser la durée de vie de la structure.

Client : Groupe Pasteur Mutualité

Architectes : S+ (Philippe Starck) + Tryptique architecture + Coloco

Constructeur : AMCM

Acier galvanisé : 57 tonnes

Livraison : 2021

Photos : AMCM / Groupe Pasteur Mutualité

La Maison de fer est un bâtiment de la fin du XIXe siècle, nommé d'après les matériaux utilisés pour sa construction. Outre ses murs et son toit, sa structure était entièrement en métal.
L'originalité de cette ancienne maison de vacances réside dans la technique par laquelle elle a été construite : un système de tôles embouties, breveté par l'ingénieur belge Joseph Danly. Construite en 1896 avec des éléments métalliques provenant des Forges et Fonderies d'Hautmont, la maison a été conçue selon une variante du système Danly original, appelé système mixte. Les murs étaient constitués d'une simple paroi métallique extérieure, doublée d'une paroi intérieure faite de poteaux en bois et de dalles de béton de mâchefer recouvertes de plâtre.

Comme dans le système Danly original, les plaques étaient boulonnées ensemble sur un fer plat et maintenues par des agrafes à un cadre métallique qui faisait office de structure porteuse. Tous les panneaux étaient estampés à l'aide d'une presse et d'une matrice pour donner la forme extérieure de la pièce. Les panneaux ont ensuite été galvanisés à chaud, pour les protéger de la corrosion.

La Maison de Fer est l'un des rares témoignages d'une époque industrielle florissante, au tournant du XXe siècle, où les constructions métalliques étaient synonymes d'innovation, de modernité et de confort, ce qui lui a valu d'être inscrite sur la liste des Monuments Historiques en 1975.

Après avoir changé plusieurs fois de propriétaire, la maison est finalement achetée par expropriation par l'Etat français en février 1981 en vue de la construction de l'autoroute A14. Un incendie et un manque d'entretien ont conduit à la détérioration progressive du bâtiment. Laissée à l'abandon, la maison a été soufflée par la tempête de décembre 1999, ne laissant qu'un amas de tôles.

En 2014, la ville de Poissy, sous l'impulsion de son maire Karl Olive, a décidé de se lancer dans un projet de sauvetage et de sauvegarde de la Maison de fer et d'y installer un centre d'interprétation du patrimoine.

La phase de démantèlement, entièrement réalisée par les services municipaux, s'est déroulée d'octobre 2016 à février 2017. L'objectif était de récupérer tous les éléments constitutifs de la maison encore en place. Le démantèlement a été réalisé avec beaucoup de précautions afin de ne pas endommager les éléments de la structure, dont la plupart étaient corrodés et déformés. Les tôles, en revanche, avaient mieux résisté à l'épreuve du temps.

Au total, près de 60% des éléments d'origine de la Maison de Fer ont été récupérés. Plus de 35% des tôles d'origine ont pu être réutilisées telles quelles ou après restauration.

La Maison de Fer a donc été reconstruite comme à l'origine avec une ossature métallique et à partir de panneaux anciens rénovés ou de nouveaux panneaux fabriqués à l'identique par emboutissage puis galvanisés. Tous les dispositifs techniques et réglementaires requis aujourd'hui ont été intégrés, sans modifier son architecture d'origine, si ce n'est l'ajout d'une structure en béton pour soutenir les charpentes et les murs en acier galvanisé à chaud. La façade métallique a ensuite enveloppé l'ensemble de la structure. Les tôles de la façade ont été peintes en blanc (système Duplex).

Patrimoine architectural atypique, la Maison de fer est un musée idéal pour découvrir l'architecture et le patrimoine de la ville, inauguré en septembre 2020 lors des Journées européennes du patrimoine.

Client : Ville de Poissy

Maître d'oeuvres : Trio Ingénierie

Bureau d'études : Trio Ingénierie

Constructeur : Métalnéo

Livraison : 1896 - 2020

Photos : Trio Ingénierie

En 2009, l’architecte Paul Andreu et T/E/SS livraient à Bibracte un prototype de structure réciproque en aluminium de 900m² pour abriter le travail des archéologues et les visiteurs. Modulable et réversible, cet abri ne comportait aucune fondation, afin de respecter les vestiges enfouis.

En 2018, l'Etablissement Public de Coopération Culturelle de Bibracte renouvelle sa demande pour couvrir les vestiges d'une maison romaine de 1 500 m², appelée DOMUS PC2.

La conception de cet abri est née, comme pour le premier, des besoins du lieu : limiter son impact au sol pour la protection des vestiges et le respect de ce site naturel, abriter les chercheurs et attirer les visiteurs.

En accord avec une simplification du programme, la charpente a été optimisée : passage d’une Nexorade aluminium bidirectionnelle à une charpente acier galvanisée (67 T au total), composée de poutres semi-Vierendeel de 36m de portée.

Le schéma structurel a été élaboré pour assurer l’absence de fondations définitives dans le sol et prévoir des trames réplicables avec une logique de préfabrication et d'extension possible.

Les lests suspendus, signature de l’ouvrage, sont constitués d’un remplissage béton dans un coffrage perdu en toile noire, dont la géométrie a été calculée pour être parfaitement lisse en charge.

Pourquoi la galvanisation : pérennité et bonne protection anticorrosion. Aspect assez brut, vivant. Se patine. Modularité. Extensible. Vocation à être étendu. Peut être réemployé. Cycle de vie très long.

Client : Établissement public de coopération culturelle (EPCC) de Bibracte

Architectes : Paul Andreu Création

Bureau d'études : T/E/S/S/ Atelier d’Ingénierie

Constructeur : SMC2

Acier galvanisé : 67 tonnes

Livraison : 2021

Photos : T/E/S/S/ - Paul Andreu Création

Géolocalisation : 46.93182, 4.04882

Le CAMPUS COUGNAUD, qui regroupe l'ensemble des fonctions opérationnelles du pôle Construction du groupe, accueille plus de 250 collaborateurs.
Le siège social de Cougnaud a été construit avec le système de construction modulaire Cougnaud, qui permet une construction rapide, une extension facile, une déconstruction et une réutilisation.
Des postes de travail adaptables aux salles de conférence, le bâtiment anticipe les évolutions de l'entreprise et immerge ses équipes dans un environnement de travail avant-gardiste. Dans le même temps, il assure un confort optimal à ses utilisateurs.
En termes de performance environnementale, le Campus Cougnaud, conçu pour être un concentré d'innovations technologiques, atteint des niveaux d'excellence. Le projet s'inscrit dans le cadre de l'expérimentation "Énergie positive et réduction carbone".

- 4 niveaux
- Conçu avec BIM
- Des bâtiments connectés pour un confort maximal et une consommation minimale
- Conforme à la norme RE2020 (label E+C-)
- Mixité des matériaux (structure en acier galvanisé, plancher en béton, mur en ossature bois)
- 500 m² de panneaux photovoltaïques

Client : Cougnaud

Maîtrise d'ouvrage : Cougnaud

Maître d'oeuvres : Cougnaud

Entreprises : Cougnaud

Architectes : PAD Architecte

Bureau d'études : Cougnaud

Surface : 5000 m²

Acier galvanisé : 200 tonnes

Livraison : 2019

Photos : Cougnaud

Parking aérien R+4 du centre commercial Cap 3000 à Saint-Laurent du Var (06700).

Structure mixte (poteaux métalliques remplis de béton, poutres et solives acier et planchers collaborants).

Cette conception a permis une optimisation du délai de construction et une diminution du temps de chantier sur site.

Client : Altaréa Cogedim, maîtrise d'ouvrage déléguée

Maîtrise d'ouvrage : Aldeta

Entreprises : Groupement Dumez-Briand Construction métallique

Architectes : Groupe-6, Agnès Plumet Chef de projet extensions et parking

Bureau d'études : SNC Lavalin (structure) ; RFR (structure métallique, façades)

Surface : 111 630 m² de parkings (3460 places)

Acier galvanisé : 7200 tonnes

Economiste : Groupe-6

Livraison : 2016

Photos : © Chantal Cecchetti

Serre Urbaine en acier galvanisé, sur le site de l'ancienne clinique Legeard (bd Gaëtan Rondeau) à Nantes.

Cette opération accueillira 30 logements sur 1.300 m² et des activités de bureau sur 1.000 m².

Client : Maison Familiale de Loire Atlantique - SCCV Beaulieu Développement - Atlantique Habitations

Maître d'oeuvres : Groupe Angevin - Agence Block - Guinée-Potin

Bureau d'études : CMF - CETRAC - TRIBU

Surface : 2.228 m² (logements) + 1.560 m² (bureaux)

Coût : 4,86 M€ HT

Livraison : 2020

Photos : Ph. Piron

Géolocalisation : 47°12'24.0"N 1°32'03.6"W

Tour de télécommunication d'une hauteur de 56 m, avec brise-glace et supports d'antennes, plate-forme de repos et de travail, échelle à crinoline.

Transmission de la TNT pour le compte de TDA (Télédiffusion d'Algérie).

Ces tours ont été réalisées suivant un cahier des charges client TDA. Les études,  plans, notes de calculs (génie civil + charpente) ont été réalisés par BATICIM Spa, ainsi que le dossier de fabrication (plans de traçage et plan de montage).

Client : TDA (Télédiffusion d'Algérie)

Ingénieurs : Bureau d'Etudes BATICIM (Algérie)

Constructeur : Baticim Spa

Livraison : 2014

L’Esplanade du Vendée Globe aux Sables d'Olonne s’habille de bois et d'acier galvanisé sur une surface de 2200m².

Tout sera prêt pour le départ du Vendée Globe, le 8 novembre 2020. Onze mois de travaux viennent de s’achever et ont totalement métamorphosé la place du Vendée Globe.

Cette belle avancée sur le port est une réussite architecturale et visuelle de plus 2.000 m² gagnés en partie sur le vide. Cette réalisation a nécessité la pose de larges pieux enfoncés dans l’enrochement de ce qui n’était qu’un talus.

L'espace de promenade a été réalisé en bois et en acier galvanisé, dont la durée de vie est estimée à 50 ans.

La vocation principale de cette extension est de permettre au grand public d’observer et d’accéder aux embarcations de course avant les grandes compétitions nautiques. Des plantations de chênes verts en bacs amovibles viennent achever la décoration et apporter une touche de nature à la place.

Client : La Verchéenne – 49700 Les Verchers Sur Layon

Maîtrise d'ouvrage : Les Sables d'Olonne Agglomération

Surface : 2200 m²

Acier galvanisé : Tonnage d'acier galvanisé (garde-corps + bancs) : 25 tonnes

Coût : Coût global (aménagement + équipement) : 4,5 M€ - Financement Sables d'Olonne Agglomération, Département de la Vendée, Région des Pays de la Loire et Etat

Livraison : Juillet 2020

Géolocalisation : Latitude : 46.50352 | Longitude : -1.788682

Client : CH d'Ardèche Méridionale

Maître d'oeuvres : ARIES AA Group Valence (26)

Bureau d'études : Bureau Decare St Etienne (42)

Constructeur : Reffet S.A.S. Constructions Métalliques (73) - www.reffet.com. Spécialisée dans la construction métallique et la métallerie, la sté Raffet réalise des ossatures pour l’industrie, le tertiaire, le commerce, l’agriculture, les collectivités et l'habitat.

Surface : Environ 20 mètres de diamètre

Acier galvanisé : Structure acier, 200 tonnes, entièrement galvanisée à chaud

Coût : 6.500.000 Euros

Livraison : 2019

Photos : Reffet S.A.S.

Géolocalisation : Aubenas-en-Ardèche (07) - 44°36’50”N 004°23’50”E

Client : Conseil Régional de la Haute-Normandie

Architectes : Archi 5 / Jacques Sebbag

Bureau d'études : EGIS Ouest

Economiste : SPEC

Livraison : 2011

Géolocalisation : 128, rue Léon Salva 76300

Client : Conseil Régional de Guadeloupe

Maîtrise d'ouvrage : Groupement formé par les Architectes Alain NICOLAS / PONCELET / MACHEFER et les Bureaux d’Etudes HAUSS et ETEC

Surface : 6.250 m² SHOB

Coût : environ 50 M€ HT

Livraison : 2013

Client : Communauté Urbaine de Dunkerque

Architectes : Anne Lacaton & Jean-Philippe Vassal, avec Florian de Pous, chef de projet, Camille Gravellier, suivi du chantier, et Yuko Ohashi

Ingénieurs : Cesma (structure métallique)

Bureau d'études : Cesma (structure métallique)

Surface : 11 129 m² surface hors œuvre nette comprenant : 9 157 m² de construction neuve et 1 972 m² de la halle existante

Coût : environ 12 M€ HT

Livraison : 2013

Géolocalisation : 503 avenue des Bancs de Flandres 59140

Ce centre aquatique est situé au coeur de l’aménagement urbain du site des Grandes Combes à l’entrée de la station de ski de Courchevel.
Pour envelopper ce programme complexe et volumineux les architectes ont proposé une grande toiture vegetalisée qui répond aux contraintes topographiques, climatiques et environnementales et prolonge ainsi la continuité du paysage environnant sans interruption.
Pour couvrir les espaces intérieurs, conçus en cascades de terrasses et de bassins, tout en conservant une vision panoramique du paysage, la structure de cette toiture de 120x80m repose sur un minimum d’appuis, espacés en certains endroits de 29m et avec des portes-à-faux atteignant 17m. Soumise à de fortes charges de neige et située en zone sismique, la structure réside en une résille de poutres treillis croisées de 2m de hauteur statique, percée en 4 endroits au dessus desquels des coques ouvertes sur le sud apportent la lumière nécessaire aux espaces intérieurs. Une passerelle relie la toiture aux montagnes environnantes.

Client : Ville de Courchevel

Architectes : Auer + Weber + Assoziierte , Stuttgart, Germany

Bureau d'études : Bollinger + Grohmann

Surface : 9 800 m²

Livraison : 2015

Mise en service : Fin 2015

Client : Communauté de Communes du Pays des Herbiers

Architecte(s) associé(s) : Atelier du Pont (Project manager: Julie-Laure Anthonioz), Architecte Associé : Michel Joyau

Bureau d'études : Arest

Constructeur : Briand

Surface : 2.880 m²

Coût : 6.260.000 €

Livraison : 2016

Photos : Takuji Shimmura

Géolocalisation : Rue du Tourniquet, 85500 Les Herbiers - France

Réhabilitation et extension des lycées. Restaurant, internat, gymnase. Bâtiment BBC

Client : Région Haute Normandie

Maîtrise d'ouvrage : Région Haute Normandie

Architectes : archi5

Bureau d'études : Bureau d’études TCE, économiste, structure, fluides : Egis centre ouest

Surface : Neuf 5 750 m² / Restructuré 17 700 m²

Coût : 24 451 497 Euros HT

Livraison : 2015

Photos : Sergio Grazia

Géolocalisation : Rue Eragny, Gisors

Client : Pic du Midi

Bureau d'études : Mécamont-Hydro

Constructeur : Mécamont-Hydro

Longueur de la passerelle : 12 m

Coût : 7 M€

Livraison : 2018

Géolocalisation : Pic du Midi, 65200 Bagnères-de-Bigorre

Bâtiment BBC, surface 200 m², 30 tonnes d'acier galvanisé (toutes parties métalliques)

Maîtrise d'ouvrage : SCI Piloti

Architectes : Patriarche & Co

Livraison : 2010

Géolocalisation : Allée du lac de garde,Savoie Technolac, 73375 Le Bourget du Lac cedex 73375

Client : Conseil Régional de Guadeloupe

Architectes : Berthelot et Mocka Celestine

Bureau d'études : Hauss, Tecsol, Karuker Acoustic et ECE

Livraison : 2009

Géolocalisation : Lieu-dit Beauport, 97117 Port-Louis, Guadeloupe 97117

Client : Pragma Immobilier

Architectes : Colboc Franzen & Associés

Livraison : 2011

Géolocalisation : Sète 34200

Client : Cap l'Orient – Communauté Urbaine de Lorient

Architectes : Jacques Ferrier Architectures

Livraison : 2008

Photos : © jacques ferrier architectures / Photos Luc Boegly

Géolocalisation : Lorient La Base, Rue Roland Morillot, 56323 Lorient

Maître d'oeuvres : SIVOM du Lac de Monteynard-Avignonet

Bureau d'études : Alpes-Ingé et ERIC, spécialistes dans le domaine des travaux alpins.

Livraison : 2007

Photos : V. Thiebaut

Géolocalisation : Lac de Monteynard-Avignonet 38770

Maître d'oeuvres : Diocèse de Paris

Architectes : Jean-Michel Wilmotte

Livraison : 2008

Photos : Guillaume Maucuit-Leconte

Géolocalisation : 18 rue de Poissy, 75005 Paris 75005

Maîtrise d'ouvrage : Ville de Raon l'Etape, Société d'équipement vosgienne (délégué)

Maître d'oeuvres : ATELIER CITé ARCHITECTURE, architecte et urbaniste mandataire ; ARPAE, paysagiste ; Scène Publique, scénographie lumière

Bureau d'études : Structure : Groupe ALTO

Surface : SHON 20 000 m²

Longueur de la passerelle : 120 m

Coût : 2,55 M€

Géolocalisation : Raon l'Etape 88110

Dimensions : h 2,5 m, L 1,8 m, l 1,2 m
Temps de réalisation : 400 h

Constructeur : Charles Frère, (contact : +33 -0-674 10 86 01)

Géolocalisation : Sedan (Ardennes, France)

Concessionnaire : ATLANDES (concevoir, aménager, élargir, entretenir, exploiter, maintenir et financer la section de l’autoroute A 63 / RN10 entre Salles (33) et Saint-Geours-de-Maremne (40), sur une longueur d’environ 105 km dans le cadre d’un contrat de concession d’une durée de 40 ans).

Maîtrise d'ouvrage : DREAL Aquitaine

Acier galvanisé : 7.500 tonnes (dispositifs de sécurité, éléments modulaires de chantier), dont 370 km de glissières de sécurité en acier galvanisé installées de manière permanente le long des voies.

Géolocalisation : Salles 33770

Architectes : Roland Gallart

Constructeur : St Eloi

Livraison : 1994

Géolocalisation : Toulouse 31000